Une pauvreté omniprésente



L’ONU constate que 76% des Malgaches vivent avec moins de 1,25 dollars par jour et sont considérés comme pauvres. La situation sociale de nombreuses familles, surtout en ville, est catastrophique. Le nombre d’enfants non scolarisés reste très important. Dans le secteur de la santé, de nombreux centres de soins ne fonctionnent pas faute de moyens. Les Nations Unies qualifient l’appauvrissement à Madagascar de «tsunami silencieux». 

 

Projet Action a fait le choix d'intervenir uniquement sur cinq communes, Milenake, Tsianisiha, Manombo, Marofoty et Tsifota, dans la durée, pour y créer les conditions d'un réel développement humain. 

 

Comment savoir si la coopération des villageois malgaches avec Projet Action permet une évolution, un progrès, une avancée vers l’acquisition des droits humains liés au développement ?

 

Lorsqu'on arrive dans les villages, la pauvreté règne partout : pas d'eau courante, pas d'électricité, une économie de subsistance ...

C’est la première observation que tout visiteur fait. C’est bien une réalité mais ce qui est plus important c’est de mesurer les changements survenus depuis 24 ans : 

  • augmentation et diversification des productions agricoles ainsi que des moyens pour travailler et s’organiser 
  •  construction de nombreuses écoles, collèges, centre de formation professionnelle 
  • progression du nombre d’enfants scolarisés ainsi que de leur niveau d’études 
  • construction de centres de soins et maternité 
  • des signes d’élévation du  niveau de vie : nombreuses maisons en briques ou parpaings, davantage de  vélos ... 

Les villageois vous diront que le développement est en marche, que leur vie s’améliore et que l’espoir d’encore progresser est bien présent. 

Loin de nous l’idée que Projet Action est à l’origine de tous les progrès dans les villages, mais on peut en mesurer sa part.

 

Dans le cercle, le territoire d'intervention de PROJET ACTION
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